bonjour, je voudrais savoir si vous connaisser cette association graines de cocagne si oui pouvais vous me dire à qu'oi sa consiste et si en aillant pas travailler je pourais avoir le droit davoir ma chansse merci de votre aide .

Bonjour David ,
En cherchant sur internet : Association Graine de cocagne , tu peux trouver toutes les explications que tu souhaites .

Graine de Cocagne est un jardin d’insertion sociale et professionnelle qui agit auprès de personnes en difficulté par rapport à l'emploi.
Situé sur les communes de St-Marcel-lès-Valence et Bourg-lès-Valence, il est géré par l’association Parenthèse (Toulaud)
et fait partie du Réseau Cocagne (une centaine de jardins en France).
L’équipe actuelle compte déjà une vingtaine de personnes. Environ 200 paniers sont livrés chaque semaine dans différents dépôts-relais à Valence,
Bourg-lès-Valence et St-Marcel-les-Valence, l'objectif étant d'arriver à 230 en fin d'année, donc quelques adhésions à l'association sont encore possibles.

GRAINE DE COCAGNE Quartier Marquet
26320 Saint-Marcel-les-Valence

Propositions de métiers durables , notamment

Emploi-Stage
Emploi - stage près de chez vous: emploi développement durable, emploi en environnement, emploi ecologie, économie sociale .

TU DEVRAIS LEUR ECRIRE !!!!!!!!!!!



TU as aussi les JARDINS COCAGNE , qui font partie du réseau COCAGNE .


Les Jardins de Cocagne sont des jardins maraîchers biologiques à vocation d’insertion sociale et professionnelle.

A travers la production et la distribution de légumes biologiques, sous forme de paniers hebdomadaires, à des adhérents-consommateurs, ces Jardins permettent à des adultes en difficulté de retrouver un emploi et de (re)construire un projet personnel.

INTERESSANT , NON , DAVID ? Tu en as dans le 26 . Va voir !

Les Jardins en activité dans la région Rhône Alpes
Département de l’Ardèche
* Colombier-le-Cardinal Terre Ferme - Le Jardin des Célestins * Cruas Association Le Terreau * Toulaud Le Jardin Parenthèse

Département de la Drôme
* Andancette Les Jardins de Cocagne du Nord Drôme * Peyrins La Ferme de Cocagne * Montélimar La Ferme des Léonards * Nyons Le Jardin de Cocagne en Barronies * Saint-Marcel-lès-Valence Graine de Cocagne


Département de l’Isère
* Moirans Les Jardins de la Solidarité * Thodure Les Jardins du Prado * Saint-Hilaire du Touvet Solid’Action (lieu de travail, lieu de vie)

Département de la Loire
* Boën Les Jardins d’Astrée * Roanne Les Jardins de Cocagne du Roannais * Margerie-Chantagret Les Jardins de Valériane * Saint-Just-Saint-Rambert Les Jardins d’Oasis


Département du Rhône
* Bully Les Jardins de Cocagne du Pays de l’Arbresle * Communay Les Jardins de Lucie * Grigny Les Potagers du Garon * Saint-Martin-en-Haut Les Jardins d’Avenir * Saint-Priest Les Jardins de Mi-Plaine


Département de Savoie
* Cognin Les Triandines * Drumettaz-Clarafond Le Cortie * Planaise Terre Solidaire


Jardins en projet
* Montrevel-en-Bresse - 01 Association IRAP * Villars les Dombes - 01 Association Tremplin




Les Jardins de Cocagne : une graine sociale dans le territoire
Au Carrefour des Initiatives socio-économiques. N°16 - Septembre 2006


L’ESSENTIEL
Domaines d’activité : insertion par l’activité économique, agriculture biologique
Statut : association
Nombre de salariés sur le réseau : en moyenne par jardin, 20 personnes en insertion, 5 encadrants
Année de création : 1991 (1999 pour le Réseau)
Implantation géographique : tout type de territoire
Types de zone : tout type de zone
Réponses à quels besoins ?Lutter contre l’exclusion, favoriser le développement durable, répondre aux besoins sociaux d’un territoire qu’on mobilise.


L’INITIATIVE
Créé en 1991 à Chalezeule dans la banlieue de Besançon (Doubs), le premier Jardin de Cocagne a rapidement essaimé. Associant insertion sociale, agriculture biologique et développement local, on compte actuellement 85 jardins sur toute la France, réunis dans le Réseau Cocagne depuis 1999.


Semés aux quatre vents
À l’origine, il s’agissait de régler un problème local, d’aider quelques personnes exclues à remettre le pied à l’étrier, tout en trouvant un système intelligent qui allie développement durable, stratégie économique et environnement social. « Lorsque le premier jardin a été créé, nous avons bénéficié d’une très bonne couverture médiatique, explique Jean-Guy Henckel, fondateur du Réseau Cocagne. Les jardins commençaient à être à la mode, de même que les produits bio. » L’expérience intéresse : des préfets qui tentaient de trouver des solutions de lutte contre l’exclusion, des bénéficiaires du RMI, des personnes issues du secteur associatif ou de l’insertion par l’activité économique, mais aussi des agriculteurs qui souhaitaient donner une autre coloration à leur projet. L’idée prend vite.

On en compte 85 aujourd’hui employant 3 000 jardiniers en insertion, 450 postes d’encadrants et comptant plus de 1 000 bénévoles. 13 000 familles adhérentes consommatrices (200 en moyenne par jardin) reçoivent des paniers de produits bio chaque semaine. La taille moyenne d’un jardin est de 3 hectares répartis entre les serres et le champ.

Des projets sociaux de territoire
S’ils sont aussi présents en zone rurale, une densité plus forte de jardins se trouve en zone périurbaine, où exclus autant que consommateurs sont plus nombreux. L’ouverture d’un Jardin s’inscrit dans un projet social de territoire après une étude de faisabilité auprès des bailleurs, des travailleurs sociaux, etc. : « On oriente les admissions en fonction des besoins locaux. Si dans tel bassin, les offres d’emploi s’adressent principalement aux hommes, on choisira en priorité des femmes », tout en maintenant une certaine mixité de sexes, d’âges et de problématiques.

Chaque jardin propose un accompagnement socioprofessionnel : des travailleurs sociaux font partie des encadrants au même titre que les maraîchers qui décident des plants et du tableau de semis. Les jardiniers sont employés en contrat d’accompagnement dans l’emploi (CAE), contrat d’avenir (CA) ou sur des postes « entreprise d’insertion » (EI), de quelques heures par semaine à un plein temps. Au terme de leur passage, certains acquérront un certificat de compétence.

Le Réseau chapeaute l’ensemble des Jardins, « essaime 10 nouveaux jardins par an. Il propose des formations pour les directeurs, les encadrants et les travailleurs sociaux, initie une démarche qualité et appuie tous les jardins rencontrant des difficultés. Le travail de réseau permet également de porter nos revendications auprès des décideurs, des fondations privées, etc. »


David , lis-bien ça , et renseigne-toi , il y a cetainement une possibilité de travail pour toi !
Ce sont des jardins maraîchers BIO , à vocation d'insertion sociale et professionnelle . Ils agissent auprès de personnes en difficulté par rapport à l'emploi .

Amicalement , Bullou

merci bcp bullou pour ton aide je v essailler de poser ma candidature .Jespert que sa aboutiras à kelke chose ENcore un grande merci .